Je suis de GUEUPLEU S/p de MAN, à l’Ouest de la Côte d’Ivoire Nos besoins urgents étaient respectivement : le foyer des jeunes et le Prix d’Excellence pour les meilleurs élèves. Alors, comment l’idée nous est-elle venue de solliciter la Fondation SIFCA et pourquoi la Fondation SIFCA ? En tant que membre de l’équipe DD du Groupe, je me suis rapproché de la Fondation pour solliciter, dans un premier temps, l’organisation d’un « Prix d’Excellence » pour les élèves de mon village. C’est au cours de cette cérémonie que j’ai officialisé la demande de construction du foyer des jeunes. Nous croisons toujours doigts. Mais au-delà, la communauté de GUEUPLEU espère toujours des visites régulières de sa fille Mme Henriette G. Billon, surnommée « NAN SINGA ». Quant à moi, la Fondation SIFCA m’a donné une certaine notoriété au point où je suis désormais le Président de la mutuelle du village.

Merci à la Fondation SIFCA.

Originaire de BINZRA, Tribu WADJE, dans le Département de ZUÉNOULA, nous avions comme besoins urgents, la réhabilitation des salles de classe , la construction de toilettes et cantine scolaire. Pour finir, nous avons opté pour la cantine compte tenu de son fort impact. C’est ainsi que nous nous sommes tournés vers la Fondation SIFCA. La réalisation de ce projet a véritablement changé la vie dans notre communauté et au niveau des écoliers. Ce projet a véritablement motivé les parents (surtout ceux des campements) à scolariser leurs enfants. Résultats, nous observons une réduction du taux d’absentéisme et d’abandon scolaire. De plus, il y’a une nette amélioration du résultat des élèves. Cette cantine est un véritable cadre pour l’épanouissement de nos enfants.

Merci à la Fondation SIFCA.

La Fondation SIFCA m’a accompagné en 2016 sur le Championnat de Côte d’Ivoire de MOTOCROSS. J’ai porté les couleurs de la Fondation sur 03 courses. En retour, la Fondation m’a offert des kits scolaires pour l’école du village où se déroulait la course. Pendant mes 12 années de présence au Groupe SIFCA, j’ai eu la chance de participer à plusieurs activités de la Fondation, en Côte d’Ivoire, comme au Liberia et sur des projets de protection des tortues marines à Grand-Béréby etc. C’est donc tout naturellement que l’idée m’est venue de solliciter l’appui de la Fondation, sachant que l’éducation est l’un de ses axes d’intervention. Aujourd’hui encore, les populations et la Fédération de moto de Côte d’ivoire réclament cet accompagnement. Parce que cela facilite l’accès à certaines zones et nous offrait la possibilité de donner du sourire aux enfants.

Grand merci à la Fondation et continuez de nous soutenir.

Je suis de Brobo, dans le canton AHALI, à 25 km de l’axe Bouaké-MBahiakro. L’une de nos préoccupations était de trouver les moyens pour mécaniser une partie des activités des femmes, à savoir le broyage du manioc après épluchage. Cette activité se faisait manuellement à l’aide de tôles perforées et causait beaucoup de blessures. La fondation SIFCA s’est donc présentée comme une opportunité afin de décharger les femmes d’une des tâches les plus pénibles, notamment le broyage. Aujourd’hui, l’Association des femmes productrices d’attiéké de Brobo, puisque c’est d’elle qu’il s’agit, a augmenté son volume d’activité et amélioré ses revenues grâce au moulin. L’enthousiasme observé chez ces femmes après la réception du moulin est indescriptible. Et cela grâce à Fondation SIFCA.

Je remercie la Fondation SIFCA et lui souhaite longue vie.